Pour de nombreux contemporains de Kneipp, l'idée qu'une activité physique suffisante devait favoriser la santé était une nouveauté. Ceux qui pouvaient se le permettre s'efforçaient même de pratiquer le moins d'activité physique possible. Le train, le tram et le vélocipède - l'ancêtre de la bicyclette actuelle - étaient pour beaucoup le moyen de locomotion de choix, même pour les courtes distances. Une évolution que Kneipp jugeait d'un œil critique, préférant à tout moment le travail et l'exercice dans la nature aux activités essentiellement physiques de la ville.
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